Fin de matinée plaisir. Chez et avec Jeanne.
Nous
sommes toutes les deux alanguies sur le canapé, discutant. Je me suis placée de
telle manière que ses pieds soient à portées de ma bouche. Cela fait plusieurs
jours que j'ai envie de ses pieds, de les lécher, de les masser. Je commence
par les caresser distraitement, puis ma bouche se rapproche, Jeanne peut sentir
mon souffle, la conversation devient haletante : j'aime quand s'installe ce silence,
arc tendu de désir, entrecoupé de soupirs, de mots
Je
lèche maintenant ses orteils, les gobe un à un, les suce. Ma langue visite
chaque contour, chaque repli. Mon cerveau est déconnecté depuis longtemps, je
me sens animal. Les soupirs et gémissements de Jeanne sont terriblement
excitants. Je sens que, petit à petit, ma chatte s'humidifie, se mouille,
ruisselle. Je le fais constater à Jeanne en collant son pied contre mon
intimité. J'adore son soupir d'excitation quand elle sent combien je ruisselle.
Je frotte son pied contre mon clito qui ne demande que ça. Je mouille son
talon, son cou-de-pied. Jeanne a mis sa main dans son pantalon et je vois ses
doigts jouer avec son clito. Je me tourne afin qu'elle puisse voir mon sexe
ouvert et dégoulinant, mes doigts ayant remplacé son pied qui, lui, a retrouvé
sa place dans ma bouche. Je lèche ma mouille sur son pied. "Jouis,
jouis" me dit Jeanne. J'obéis en me cabrant.