mardi 27 août 2013

N°115 et 116


Samedi fin de matinée. Dans mon lit. Seule.

Je viens d'écrire quelques articles sur mon blog, dans mon lit. Et ma chatte est trempée. Je sens qu'elle coule.
Après une nuit de déchirure avec mon amant chéri, je ne comprends pas comment mon corps peut s'exciter quand mon cœur a mal. 

Je pense à Cyril que je verrai lundi. Mes mains s'aventurent entre mes cuisses.
Je jouis deux fois, à quelques minutes d'écart.


 

lundi 26 août 2013

N°114


Dans la nuit de vendredi. Chambre 702. Avec Paul.

Retrouvailles houleuses, notre dernière rencontre était médiocre, je râle. 
Je n'ai pas envie de lui, je le lui dis. 

Il me caresse, j'adore ses baisers, ses mains partout. 
Nous nous endormons.

Je suis réveillée vers 3h par ses mains sur moi, entre mes cuisses, sur mes seins, ses lèvres qui cherchent les miennes. Ses doigts dans mon intimité se font précis, il fait le tour de mon clito, visite les plis et les replis, augmente le rythme. Mon souffle accélère, je me perds dans mes cheveux. Je jouis sous ses doigts et j'adore ça.

dimanche 25 août 2013

N°113


Dans mon lit. Seule. Jeudi en rentrant du bureau.

J'ai déjeuné avec Cyril. Bien qu'il m'ait demandé de lui donner ma culotte pendant le déjeuner et que je ne l'ai remise qu'en arrivant au bureau, elle a été trempée de mon excitation. 
Tout l'après-midi, j'ai attendu de rentrer chez moi pour pouvoir me caresser.

Je suis nue allongée sur mon lit, ma culotte posée près de mon visage. Je m'enivre de mon odeur sucrée. Je n'ai même pas besoin de vidéos pour m'exciter. 
Je veux plus que mes doigts sur mon clito. Je mouille mon gode et m'encule lentement avec. Je jouis de longs spasmes.

samedi 24 août 2013

N°112


Dans mon lit. Avant que tout le monde ne se lève. Seule.

Je suis d'ordinaire plutôt attirée par des hommes plus âgés que moi, les quinquas, surtout passé la moitié de la dizaine, ont ma préférence. 
Mon sport favori, sur la plage, est de mater. Les hommes, les femmes.Là, je me suis surprise à regarder un adolescent : déjà très homme dans son visage et surtout dans son torse très harmonieusement musclé. Derrière mes lunettes de soleil, j'ai longuement observé ses muscles, son mouvement, son petit cul.
Une fois dans mon lit, je laisse mon esprit imaginer que nous nous croisons, ce pourrait être le fils d'amis. Je nous imagine nous regarder, nous observer, nous renifler. Puis très vite, nous sommes nus l'un contre l'autre. Il me dit qu'il ne sait pas, qu'il n'ose pas. Je l'allonge sur le lit et me glisse entre ses jambes, prends dans ma bouche son sexe arrogant. Il ferme les yeux. J'essaie de ne pas aller trop vite. Puis il me retourne contre le lit et m'écarte les cuisses. Je sens sa fierté de me prendre. 
Dans mon rêve, je sens son corps sur moi, je sens sa queue ouvrir mon ventre. Je jouis, les yeux fermés.

N°111


Dans mon lit. Vacances entre amis. Après-midi. 

Fenêtre ouverte sur le jardin, j'émerge doucement de ma sieste. J'entends mes amis parler, sur la terrasse. 
Il n'y a pas internet dans cette maison, je farfouille dans mon smartphone à la recherche d'une vidéo porno qui y traînerait. Trouvée. 
Je mouille mon doigt et le colle sur mon clito endormi. Doucement, je joue avec. La vidéo fait son effet. Le cerveau entre en ébullition. J'entends mes amis en bas. J'explose en gémissant doucement.



N°108, 109, 110


Presque tous les matins, après avoir pris le petit-déjeuner en famille, je remonte dans ma chambre et me glisse dans mon lit. Et je me caresse, en regardant des vidéos. Après les hommes qui s'enculent, je suis passée aux femmes qui dominent une autre femme.

mercredi 21 août 2013

N°107


Une heure après. Même endroit.

Le petit déjeuner avalé, je me glisse à nouveau dans mon lit, décidée à reconvoquer le plaisir au bout de mes doigts. 
Avant (avant quoi ?), les relations sexuelles entre hommes ne m'excitaient pas du tout. Mais, depuis qq temps, je me mets à zieuter du côté des vidéos Gays. Je zappe les fellations, j'adore autant les faire que cela ne m'excite pas de les regarder. J'arrive sur la vidéo de deux hommes s'enfilant joyeusement, ma main est frénétique.
C'est lorsque l'un a traité l'autre de petite pute que j'ai craqué.


N°106


Dans mon lit de jeune fille dans la maison familiale. Première matinée de vacances. Seule.

La maison est vide et silencieuse. Fenêtre grande ouverte sur la campagne. Nue dans mon lit, l'air frais court sur ma peau. C'est délicieux. 
Depuis plusieurs jours, j'entretiens une correspondance à haut potentiel d'excitation. Je ne peux lire un mail de Cyril sans mouiller ma culotte. Nous devons nous voir à mon retour de vacances, il va m'être difficile de patienter. Il m'a envoyé des photos, son sexe dressé est un appel à la fellation. 
Mon ordinateur posé sur mon lit, je laisse défiler les photos, mes mains caressant ma peau toute douce. Les yeux rivés sur mon écran, la bouche à demi-ouverte, j'imagine que je joue avec sa queue. Mes mains la caressent, ma langue s'y aventure. 
Ma main rejoint mes cuisses écartées, un doigt indique à ma cyprine le chemin de l'obscure caverne. J'adore caresser l'endroit magique, entre la vulve et l'anus (Je ne sais pas ce nom... Tiens, je vais lui en chercher un), c'est un régal. Pour une fois, je prolonge ce moment, je sais que je tiens l'orgasme au bout de mes doigts, je le laisse monter, tout doucement puis exploser. Mon clitoris me fait mal.


samedi 3 août 2013

N°105


Qq minutes plus tard. Dans mon salon.

Y'a comme une tension entre nous. Un malaise. Pas l'attirance magnétique habituelle. J'ai envie qu'il parte.
Il reste là, assis. Je suis allongée par terre. Mes mains jouent entre mes cuisses écartées, je me place face à lui pour lui faire profiter de la vue, je sais qu'il adore me voir me caresser.
Il se lève, se place entre mes jambes, sors son sexe déjà tendu et se masturbe. "Je vais éjaculer sur toi". Je retrouve le sourire...
 "Qu'est-ce que je gagne si je jouis en premier ? 
- Tu veux quoi ?  
- Une nuit avec vous.
- C'est trop pour un simple orgasme.
- Un bâillon.
- OK".

Je suis une petite joueuse. J'ai mérité mon cadeau. 



N°104


Chez moi. Mardi minuit. Avec Paul.

En un an et demi d'absence de ce blog, notre relation a connu une looonnngue pause puis des retrouvailles magnétiques. Toujours aussi compliqué de se voir et d'anticiper.

Ce soir, il doit arriver à 23h et essaie d'attiser mon attente. Texto n°1 : "Une jupe très courte et des talons". Texto n°2 : "Prépare un gode..." et n°3 : "... et une capote". Texto n°4 : "Je vais te gifler et t'enculer. Je ne sais pas encore dans quel ordre". Mauvais timing : je ne suis pas du tout dedans, avachie sur mon canapé à rattraper mon retard de séries !

Il arrive enfin, boit un verre tout en me faisant sucer le gode que j'ai préparé, vérifie parfois l'humidité de mon intimité. Puis me pénètre avec le gode, m'emmène dans ma chambre, m'enfonce un bas dans la bouche (mais pourquoi ai-je réclamé un bâillon ?), installe la capote sur sa queue et s'évertue (quoique la référence à la vertu me paraisse incongrue) à me sodomiser. Sans préparation, sans lubrifiant. Mon petit trou refuse mais Paul insiste. ça fait mal, c'est désagréable mais je ne dis rien. 
Une fois qu'il est au fond, je mets mes doigts sur mon clito. Trempé, gonflé. Mais comment c'est possible alors que j'ai mal ? Je fais jouer mes doigts rapidement et jouis, pour me débarrasser de ce pieu dans mon fondement.