mercredi 30 novembre 2011

N°63

Au réveil. Seule.

Je ne sais comment je me débrouille pour connaître, avec Paul, les inconvénients de l'amant... et ceux du mari. J'enrage de n'être avec lui qu'une mégère alors que je rêve d'être sa salope. De n'être que tendresse, luxe et réconfort. Je lis dans son mail de ce matin une rupture prochaine. Je voudrais qu'il soit mon dernier amant.
Je voudrais débrancher mon cerveau et mon coeur, les poser sur une étagère en attendant les temps où je serai plus solide.

Je cherche à fuir l'angoisse de cette probable rupture, je fais le tour de mes blogs favoris, l'un m'excite particulièrement... Mes doigts rejoignent mon sexe humidifié par mes lectures et mes commentaires. La vidéo d'un trans doublement enculé par 2 blacks achève de me mener à l'orgasme.

Je suis une pauvre fille.











N°62

Le lendemain après-midi. Seule.

Une brusque envie d'une femme à caresser, à embrasser. Envie de ses seins. De sa peau chaude et douce. De ses caresses.
Une vidéo de 2 lesbiennes m'emmènent jusqu'au plaisir.

N°61

Un soir. Seule.
Alors que je suis en train d'hésiter à me caresser, avant de me coucher, un lecteur de mon blog, croisé sur Facebook, m'y incite.
J'ai beau avoir un fort mal de tête qui me semble empêcher tout plaisir, mes caresses me mènent doucement à l'orgasme. Bon, y'a eu mieux....

lundi 14 novembre 2011

N°60


Qq jours plus tard. En soirée. Avec Paul.

L'ambiance est tendue à son arrivée. Il a beaucoup d'absences et de silences à se faire pardonner. Je ne veux pas céder facilement à ses caresses. Nous discutons longuement de notre relation aussi intense qu'impossible. Il me supplie de lui laisser, de ses doigts, sentir mon intimité trempée. Je suis partagée entre la volonté qu'il comprenne qu'il ne peut pas disparaitre et réapparaitre ainsi, et le fort désir de le retrouver en faisant l'amour.
Petit à petit, je le laisse reprendre possession de mon corps. C'est émouvant de voir l'intensité avec laquelle il redécouvre chaque zone de mon corps. Il prend son temps. Je suis aussi nue qu'il est habillé.
Au bout d'un long moment, il concentre ses attentions sur mon sexe complètement trempé. J'écarte les cuisses, me cambre et sens monter le plaisir. Il pourrait m'enfoncer un doigt dans l'anus, je jouirais instantanément. Je n'en ai pas envie, juste l'envie de lui montrer qu'il est capable de me faire jouir avec sa seule main sur mon clitoris, juste l'envie de lui offrir cet orgasme. 
"Encore, encore". Je l'encourage, mes yeus plantés dans les siens, je sais que sa main doit fatiguer... "Encore, encore". Le plaisir monte, par étape, et explose. Eclair, tonnerre et orage. Je suis agitée de spasmes et les larmes coulent.

Malgré notre envie, mon corps n'a été capable de rien de plus...
Je penserai, en m'endormant après son départ, que cela a été le plus fort orgasme que Paul m'ait donné et je crois que je le décrète meilleur orgasme de la saison !

jeudi 10 novembre 2011

N°59


Seule, dans mon lit.

Comme souvent, l'écriture de mes derniers orgasme sur ce blog me donne envie de me caresser....
Qui dit caresse dit orgasme.
Tout eu douceur, en regardant une vidéo d'une femme en sodomisant une autre.

N°58


Qq minutes, un verre d'eau et une douche plus tard.

Victor et moi avons trouvé un coin câlin qui se ferme. Une fenêtre laisse la possibilité de regarder et de toucher à travers les barreaux.
Alors que Victor est allongé sur le dos, bien calé dans des coussins, je déguste son sexe longuement. Je m'en amuse, m'en délecte, le lèche et le suce, le lape et l'avale.
Se lasse-t'il ? J'entends Victor déchirer l'étui d'une capote et me conduire à m'empaler sur lui. Il écarte mes fesses qui doivent être ainsi bien offertes à la vue des quelques hommes massés derrière les grilles. Je crois que j'aime ça.
Je voudrais voir leurs visages quand j'enfonce doucement le sexe de mon amant dans mon anus serré. Je râle et gémis en jouissant.

jeudi 3 novembre 2011

N°57


Qq petites minutes après.

Victor ne semble pas vouloir s'arrêter là. Je m'allonge sur le dos, écarte les cuisses. Je sais que j'offre un spectacle trés excitant aux voyeurs qui nous regardent en se caressant. Je les oublie et plonge mes yeux dans ceux de Victor : ses mains vont de mon sexe avide à mes seins qu'ils pincent et ma gorge qu'il sert. Ses doigts se font plus fermes et réguliers sur mon clitoris gonflé. Je le supplie de continuer... encore, encore.
Cela fait longtemps qu'un amant ne m'a pas fait jouir sans m'enculer. Je croyais même ne plus en être capable. Belle surprise d'un orgasme trés puissant que je sens monter, monter, monter. Et exploser.

N°56


Dans un sauna libertin. Avec Victor.

Sauna, hammam... Nous nous sommes pas vus depuis longtemps ; c'est agréable de se retrouver dans cette ambiance détendante. J'ai droit à un massage long et archi-agréable. Qq hommes nous regardent mais je ne les vois pas, toute entière concentrée sur mes sensations.
Je sens, contre ma cuisse, son sexe tendu alors que ses mains parcourent mon corps huilé. Elles se font parfois aventureuses et un doigt s'introduit dans mon anus. Allongée sur le ventre, je prends son sexe durci dans ma bouche. C'est bon de le retrouver.
Je crois avoir joui quand il a entrepris de me visiter plus en profondeur.

mardi 1 novembre 2011

N°55


Seule, 15 jours plus tard. Ma vie sexuelle a bien perdu de sa fréquence...

Au petit matin, je rêve que Victor et moi faisons l'amour dans une couchette de train. Quelle manière agréable de se réveiller... J'en profite pour visiter mon corps, caresser mes courbes que nul n'a touché depuis longtemps. Je jouis en m'étonnant presque d'en être encore capable.