mardi 27 septembre 2011

N°50


Seule. A mon bureau.

Le problème, quand j'écris ces récits, c'est que cela m'excite et que je suis obligée de me caresser.

N°49


Seule. Dans mon lit.

Hop. Avant de m'endormir, en train de lire ces contes érotiques à faire rougir les petits chaperons....

N°48

Avec Paul. Tard dans la nuit.

Qui dit engueulade dit réconciliation sur l'oreiller. Sinon, à quoi ça sert de s'engueuler avec son amant ?
Mon cher canapé n'aura pas droit de profiter longtemps du spectacle... "Sur ton lit, à genoux, jambes écartées" me dit Paul. Il m'a demandé 2 foulards qu'il sert autour de mes mains et de ma bouche. Puis me pousse en avant... La tête dans le matelas, je sens que Paul s'enfonce en moi. Où ? Je ne sais plus... 

Je me souviens qu'après avoir joui, j'ai pleuré. Comme un barrage qui cède.
Je me souviens lui avoir demandé de m'enculer. Encore.
Je me souviens qu'il m'a giflée, sans quitter mes yeux des siens et son sexe planté dans le mien.
Je me souviens qu'il a éjaculé sur mes seins.

N°47

Seule, dans mon lit.

L'expo de photos érotiques, les frolements et les discussions... puis la lecture de ces récits... Je sens mon sexe inondé de désir. Bien calée sur mes coussins, une main tient le livre ouvert et je poursuis ma lecture tandis que l'autre main visite mon intimité trempée, les cuisses bien écartées. Je crois qu'il est question des 7 nains et de Blanche-neige quand je jouis doucement.

N°46

Sieste sur mon canapé. Dimanche après-midi.

Si ce canapé pouvait parler..., on le baillonerait pour incitation à la débauche.
Orgasme tout doux comme une sieste de WE.

lundi 26 septembre 2011

N°45


Avec Manuel. La nuit. Sur un canapé.

On se connait depuis une heure à peine. Nous regardons Vincent encorder une jeune femme. Assise au pied du canapé, je sens les mains de Manuel s'aventurer sur le haut de mon dos et me pétrir le cou et les épaules. Je gémis presque aussitôt. Un mélange trés fort de douleur et de plaisir.
Il est devant moi, maintenant. Il me dira plus tard que mon visage s'est incliné et que, sans me connaître et sans avoir jamais pratiqué ceci, il a senti une trés forte envie de me gifler. Ce qu'il a fait. Il me fait mal, me sert les bras, me gifle, me contraint le cou, les épaules. Je suis dans un état d'excitation terrible. Je ne sais plus où je suis, ni qui je suis...
Il écarte mes cuisses, prend ma main et la pose sur ma culotte. Je jouis instantanément.

N°44

Ficelée sur le parquet. Avec Vincent.

Me voilà "bondagée" pour la 1ère fois. Jambes serrées, bras maintenus douloureusement derrière le dos. Immobilisée. Je sens mon intimité trempée. Impossible d'y approcher la main. Grrr...
Vincent m'aide à me mettre à genoux, le cul dressé, la tête au sol. Je sens qu'il cherche quelqu'chose dans sa valise à malices... Il introduit un objet dans mon anus. Qq'chose qui vibre et qui gonfle. L'excitation est terrible, immense. Je gémis à chaque fois qu'il actionne son jouet.

Plus tard, me voilà couchée sur le côté. Vincent approche de mon sexe trempé un hitachi, sex-toy que je n'ai vu que dans des films pornos américains.... Mais comment font les actrices pour résister plus de 2 minutes ? Je jouis en criant, serrant encore plus les cordes qui maintiennent mes membres.




mercredi 14 septembre 2011

N°43


Dans mon lit. Sous les yeux (et l'objectif) de Christophe.

J'ai le trac. Me caresser sous les yeux d'un photographe, je suis persuadée que je ne vais pas y arriver.
Je ferme les yeux pour m'isoler dans ma bulle, écarte lentement mes cuisses et caresse doucement mon entre-jambes. J'enfonce un doigt et je suis suprise d'y trouver de l'humidité que j'étale sur mes lèvres et mon clito.
J'entends les cliquetis de l'appareil-photo mais ne rouvre pas les yeux. Je réchauffe mon rosebud, cadeau de la semaine passée, et l'enfonce doucement dans mon anus. Je ne peux réprimer un soupir, mélange de douleur et de plaisir.
Ma main se fait active sur mon clito gonflé et le plaisir explose.

lundi 12 septembre 2011

N°42


Seule, à mon bureau.

Ecrire ses qq récits d'orgasme m'a liquéfiée. J'allume une video et ne tarde pas à jouir, les cuisses écartées, les pieds enroulés autour des barreaux de ma chaise.

N°41


Sieste du dimanche après-midi. Seule, sur mon canapé.

Bien au chaud sous un plaid, je caresse mon sexe, le visite. Une épilation récente l'a fait tout lisse. C'est trés agréable de s'y promener, dans les plis et les replis. Je jouis doucement.

N°40


Douche du club. Fin de nuit. Avec Paul.

Nous discutons beaucoup de mon malaise.
Je suce longuement Paul sous la douche, c'est trés agréable et calme.
Il me fait me relever et, de ses doigts, visite mon cul. Je jouis, encore une fois sans vraiment prendre du plaisir, mais je ne me lui dis pas.

Pfff.... Sale nuit !



N°39


En club.

Mon cul est exhibé face à plusieurs hommes, il me semble. Je ne vois pas, le visage contre le matelas. J'entends mon accompagnateur dire à un homme qui approche ses doigts de mon sexe, que ce ne sont pas des doigts que je veux... J'acquiesce d'un hochement de tête et un sexe dur s'enfonce en moi. Plus épais que long, il me fait beaucoup d'effet. Ses va-et-vient me font jouir assez rapidement... Un orgasme physique sans aucun plaisir. Je ne me sens pas à mon aise. Je ne sens pas mon accompagnateur près de moi, je me sens seule et j'ai envie de pleurer.
L'inconnu continue à me labourer, de plus en plus fort. Il me fait mal. Je ne dis rien. Je m'en veux de ne pas oser. Il est long à comprendre que cela serait bien qu'il s'arrête. Je le remercie d'un sourire faux.


N°38


Sur mon canapé. Fin d'après-midi. Avec Victor.

Je peux enfin le sucer, après 2 mois sans son goût dans ma bouche. Ouf, ce fut long.
Puis il reprend possession de mon intimité trempée. Il me giffle, me griffe, me pince. J'ai mal mais cela m'excite, toujours plus.
J'écarte mes fesses de mes mains qu'il puisse y enfoncer ses doigts. J'adore ça. Mes doigts à moi s'activent sur mon clito gonflé. Je jouis, les yeux fermés. Mon souffle met longtemps à se calmer.


N°37

Pfff.... J'ai pris du retard....


Dans mon lit. Minuit. Qq jours plus tard. Avec Paul.

Je dors quand il arrive. Ses caresses me réveillent doucement. Je ne me souviens plus ce qui m'a rendu si trempée. Je le lui dis. Il vérifie de ses doigts et les enfoncent. J'adore ça, quand il me pénètre pour la 1ère fois.
Je jouis dans un souffle rauque et il me fait goûter ces doigts.