lundi 23 juin 2014

N°208


Chez moi. Fin de journée. Avec Samuel.

Je l'attends vêtue d'une seule petite robe, sans culotte. A peine entré chez moi, Samuel m'enlace, m'embrasse. Sa langue me produit toujours beaucoup d'effet. Elle se glisse dans ma bouche, se faufile entre mes lèvres, s'enroule autour de la mienne. Ses mains parcourent mon corps, caressent mes courbes, explorent leur territoire. Nos baisers et mon absence de culotte nous emmènent rapidement au point de non-retour. Cinq minutes à peine après son arrivée, je sais que je serai consommée avant même l'apéro. 

Samuel m'enlève ma robe sans ménagement, me couche sur le canapé. Mes cuisses écartées dévoilent une chatte luisante d'excitation. Je ne peux retenir un gémissement alors qu'il y met la main. Mon bassin ondule, cherchant le contact de son corps. 
J'essaie de déboutonner son pantalon, de libérer sa queue gonflée, à l'étroit dans son jean. Je la prends en bouche alors que sa main ne quitte pas mon intimité ruisselante. Je le suce longuement. Mon cerveau a migré entre mes cuisses. Ses doigts me fouillent, m'explorent, m'arrachant des gémissements et des "encore". Je me tords et me cambre, propulsant mon corps vers un orgasme libérateur.


samedi 21 juin 2014

N°235


A l'instant, samedi après-midi. Chez moi. Avec Franck.

Je reçois ce matin un mail de Franck. Il doit faire une course dans mon quartier dans l'après-midi et me propose de passer, une demi-heure maximum. J'accepte. 
Selon ses instructions, je l'attends, nue, sur mon lit. Il m'a annoncé le programme : il va m'attacher et me baiser, puis repartir à ses activités familiales. Bien que je m'en défende, je crois que ce contraste m'excite.
Nue, à quatre pattes sur le lit, je l'entends arriver, me rejoindre dans la chambre. Il me demande de mettre mes mains derrière mon dos et me passe des bracelets de serrage en plastique. Puis, un scotch sur la bouche. Je suis à sa merci. 

Ses doigts serrent mes tétons jusqu'à m'arracher des gémissements, ses mains claquent mes fesses. Le scotch étouffe mes cris, ma respiration s'accélère.
A chacune de ses propositions, je me dis que "non, cette fois-ci, cela ne va pas m’exciter" et encore cette fois-ci, il a su trouver le chemin vers mon cerveau animal et ma chatte est trempée. J'essaie de caresser sa queue mais mes mains attachées rendent mes mouvements difficiles. 
Il me pénètre et mes gémissements reprennent de plus belle. Il va-et-vient en moi, sans douceur. Je le sens profondément. Il me dit qu'un jour, il me laissera attachée ainsi et qu'il enverra des gens me baiser. Il s'enfonce loin dans mon ventre, violemment. Je feule, à travers le scotch, me débâtant, gênée par mes poignets attachés. 
Il jouit sur mes mains. 
Il m'enfonce son pouce dans la chatte et je jouis dans un n-ième feulement.

N°228


Jeudi matin 7h. Dans mon lit.

Pour une fois, il ne m'a pas été difficile de sortir de mon lit dès la sonnerie du réveil. Je prends une douche rapide, fais chauffer l'eau du thé, déverrouille la porte et me glisse dans mon lit pour attendre mon amant.
Il arrive alors que je somnole, se déshabille et me rejoint sous la couette. Cela me surprend toujours de voir un homme de son gabarit être si doux et si tendre, par moment. Nos mains, nos lèvres, nos jambes, tout se mélange. 
Sa queue bien dressée est un appel. Je m'empale, enrage de ne pas être plus sportive pour aller et venir sur lui comme je le voudrais. Je sens que je suis très ouverte, offerte. 
Il me prend en levrette, ouvre mon ventre, me pénètre profondément. Ma tête enfoncée dans les coussins, mes doigts s'agitent sur ma chatte trempée. Je jouis quelques secondes après lui.

N°227


A la campagne. Lundi de Pentecôte. 

J'aime, après ma douche et mon petit-déjeuner, me recoucher dans les draps encore chauds. La fenêtre est grande ouverte sur la nature. Le ciel est bleu, la soleil brille, les oiseaux chantent... Mon corps ne demande qu'à s'unir à cet hymne au printemps. Je me caresse longuement, doucement, très tendrement. Je sens l'air frais caresser mon corps. 
J'imagine qu'un homme est attaché au bout de mon lit. Il me regarde sans pouvoir caresser son sexe dressé. Je le titille de mes pieds, écarte mes cuisses pour lui montrer ma chatte trempée, déjà ouverte. Mes doigts jouent avec mon clitoris gonflé et cueillent un orgasme tout doux et léger.

N°201bis


Je dois bien à ma louve la version opposée de l'histoire. 
Cela commence banalement, le conte de fée d'antan s'est transformé en site de rencontre. Alice met en avant son décolleté, moi ma taille. Mais son annonce ressort : elle dit qu'elle est joueuse, je la prends au mot, je titille là où elle s'allume. Il faut croire que je sais y faire : elle répond à mes questions les plus intimes avec verve et célérité. Question N°6 : quelle est la chose la plus osée que tu aies jamais osé faire ? Une jolie question râteau qui balaye un large spectre. Réponse : elle est gênée, n'ose pas trop. Ça y est, je suis tombé sur une fille qui va me dire qu'une fois elle s'est déshabillé complètement devant son homme et qu'elle en garde un souvenir ému. Bâillements en perspective. Mais non, je comprends qu'elle ait gênée car elle est allée vraiment loin mais n'ose pas de peur de me choquer, voilà qui est intéressant.

2 jours et 50 messages plus tard. Message N° 53 : « Vous venez dans un parking, je vous indique le N° de place avant, et l'heure exacte. Je suis dans la voiture. Un masque est à l'intérieur. Vous le revêtez, vous entrez, vous asseyez. Je vous aurai observée de loin. Je vous rejoins, et vous caresse. Pour faire simple, nous n'irons pas trop loin. Mais je me permettrai de vous donner des picotements - dégrafer votre soutien gorge, vous caresser le sexe, … Puis je vous fais ressortir. »
Elle me dit oui.

Je gare ma voiture dans le parking, dans une place un peu à l'écart que j'ai repérée. Je vois une caméra sphérique, je souris (et si je faisais sortir Alice à un moment pour régaler les équipes de vidéo-surveillance ?). Je rabats les sièges, laisse la voiture ouverte et pars aux Galeries Lafayette acheter du parfum pour Alice – Eau d'Orange Verte d'Hermès. C'est un parfum subtil mais surtout habile : il est asexué. Si elle le met quand je la vois et que je la quitte avec des effluves de EOV, je peux m'en sortir en « cas de contrôle ». Je prendre aussi des échantillons de Terre d'Hermès, un parfum d'homme. Laisser une trace permanent sur « ma » louve, c'est un symbole excitant. Qu'elle porte un parfum d'homme, cela l'est encore plus. (Note d'Alice : Comme Eau d'Orange Verte est déjà mon parfum ;-), il m'offrira Terre d'Hermès qui devient désormais mon parfum des jours coquins...)

Deux SMS. Elle arrive. Elle entre dans le parking. Je redescends, un peu groggy, mais mes jambes me guident vers elle.

La voiture est là, mais elle semble vide. Je m'approche. Non elle n'est pas là, je ne vois rien. J'ouvre la porte avant, la lumière s'allume. Si ! elle est là, nue en culotte. Je me rends compte qu'avec la lumière allumée, on peut la voir de l'extérieur. Je coupe la lumière. Je rentre, je durcis en 5 secondes tant c'est érotique, j'en ai mal. Alice est les yeux bandés, ses seins lourds et fermes bien en avant, ses jambes sont écartées, elle a gardé ses bas. Je l'embrasse, la caresse. Très vite je lui fait ôter sa culotte et j'approche ma main. Elle en ressort trempée : Alice mouille fort. Ceux qui la connaissent vous le diront. Elle a un sexe très excitant à caresser. Ses lèvres s'ouvrent largement, mon doigt trouvent naturellement sa place, et je sens la cyprine qui coule, encore et encore. Je porte le doigt à mon visage : son odeur intime sent bon, il n'y a pas cette aigreur que l'on sent chez certaines. Le goût confirme. Car oui, le suc intime d'une femme, c'est comme un bon Bourgogne, ça se hume, ça se déguste, c'est un cadeau de Dieu. Je sens que je lui fais du bien.

Je la fais s'allonger. J'ai rabattu une partie de la banquette – je pense que les constructeurs n'ont pas imaginé cet usage pour leur trouvaille de sièges rabattables en deux tiers / un tiers. Ainsi, elle est allongée, les jambes dans le coffre, le buste sur le siège, pendant que je suis assis confortablement. Un impulsion m'a fait prendre en partant ces pinces que l'on utilise pour faire tenir ensemble des feuilles : une pièce de métal noir en forme de pince avec deux petits leviers chromés pour ouvrir et fermer la pince. Je lui dis que je vais lui faire mal. Acceptera-t-elle. Je le dis avec douceur, comme un vrai choix. Elle cherche à savoir ce que c'est. Je la sens hésitante. Toujours aussi doucement, je lui dis qu'elle verra bien. Cinq secondes. « Oui ». Je jubile. Elle aurait ma main sur ma bite, j'éjaculerais dans la seconde. Je lui applique les pinces – cela fait horriblement mal et surtout la douleur est instantanément forte, comme quand on se pique ou se pince la main dans une porte. Un hoquet de douleur la soulève. « Putain » dit-elle doucement. Je suis prêt à retirer les pinces, mais elle ne dit rien. Alors, je continue à la caresser. Toujours aussi mouillée. Je continue et elle se met à jouir. Pareil : ceux qui connaissent Alice savent l'incroyable gratification que représente pour nous sa jouissance. Elle est prise de tremblements, on sent l'orgasme la saisir, la dévorer, lui enflammer les nerfs, la faire convulser. J'ai l'impression d'avoir un petit animal blessé. Je le lui dis et je sens que cela renforce son orgasme. Je la prends doucement dans mes bras. J'ai envie de la protéger, car elle donne l'impression de souffrir. 
L'orgasme est retombé. Elle veut me faire jouir. Je voudrais la prendre, mais sans jouir. Je voudrais qu'elle comprenne que ma semence est précieuse, que je ne la répands pas pour la première inconnue. Mais je veux la baiser, la prendre, de manière animale. Peut être même la sodomiser – c'est affreux ce qu'est bon ce sentiment de toute puissance quand son sexe fouille les entrailles de sa dame. Alice me suce. Mais très vite nous nous rendons compte que c'est trop inconfortable avec les sièges rabattus. Je décide alors de laisser tomber, et me rabats sur elle. A défaut de sodomie, mes doigts jouent avec elle. Elle vient s'empaler sur mon pouce, il pénètre la barrière de son anus avec grâce, juste une petite tension, et dans un mouvement de va-et-vient entre et ressort. Alice jouit une deuxième fois. 
Il est temps de partir. Je sors, vais faire un tour, rentre dans ma voiture, et pars à une réunion chez un client. Pendant toute cette réunion, je viens sentir l'intimité d'Alice sur mes doigt, et je sourirai intérieurement. Car le parfum d'Alice est persistant

N°226


A l'heure du déjeuner. Dans un charmant hôtel. Avec Samuel.

Samuel fête ce jour son anniversaire et puisque sa soirée est réservée à  sa "régulière", j'ai mis une option sur la pause déjeuner. Nous nous retrouvons dans un hôtel. 
Nous sommes très excités par la situation et, entre un toast au foie gras et une coupe de champagne, nous sommes rapidement nus. Ses mains, sa bouche, sa langue sont partout ; ma peau entière frissonne. J'ai l'impression qu'il y a plusieurs hommes qui me caressent. Je suis trempée.

Il y a quelque chose que j'aime beaucoup, avec Samuel, c'est quand il me pénètre pour la première fois. Je ne sais pourquoi mais j'aime particulièrement ça avec lui. Il le sait et fait durer l'attente, puis le plaisir en s’introduisant très lentement. Je sens sa queue m'ouvrir progressivement et j'adore ça. Je gémis de plaisir. Ses va-et-vient deviennent plus rapides, plus profonds et, rapidement, je sens qu'il est au bord de l'orgasme... Il explose. Aucune frustration de ma part mais un surcroit d'excitation. Je le repousse de mon corps et ma main remplace sa queue. Il a étalé ma cyprine partout, elle a coulé entre mes fesses, s'est répandue sur mes cuisses. Je joue avec elle et quelques caresses sur mon clitoris m'emmènent vite et loin.

 
 









jeudi 29 mai 2014

N°202


Le lendemain. Fin de journée. Chez moi.

La rencontre d'hier dans le parking m'a électrisée. Un degré d'excitation très élevé. 
Cela occupe mes pensées durant toute ma journée de boulot et lorsque je reçois un message de Fabrice, via un site de rencontres libertines, j'y réponds instantanément. Je veux retrouver cet état où mon cerveau entre en fusion. Je chauffe Fabrice qui se laisse faire. Les mails s'enchaînent. Il est moins percutant que ne l'est Franck mais mon désir m'aveugle. 
Je lui donne rendez-vous chez moi et accepte docilement ses consignes : je l'attendrai les yeux bandés, nue, en bas et talons. (...)

Je me presse pour rentrer du boulot et, sur la route,je reçois un appel d'Hector. Ce que produit en moi cet homme est un mystère : humainement, je crois que je ne l'apprécie pas ; de toutes façons, je ne le connais pas. Mais il y a qq'chose en lui qui me rend animale. Face à lui, je me sens une chienne qui veut être prise par son mâle et ne suis plus capable de rien d'autre. 
Plusieurs fois, Hector, alors qu'il était avec une de ses amantes, m'a fait participer en m'envoyant des photos ou des enregistrements audio qui m'avaient excitée au plus haut point. C'est à mon tour de l'associer à mes activités libidineuses. (...)

18h. J'entends Fabrice entrer dans mon appartement. Je suis prête, nue, debout au pied du lit, les mains posés sur la tête comme il l'a exigé. Mon téléphone est posé à proximité, afin qu'Hector puisse entendre ce qui va se passer. Je sais qu'il est à son travail et qu'il bande. 
Fabrice s'approche de moi, glisse qq billets dans mon string en me disant à l'oreille : "tu es une pute". Il met sa main sur ma nuque et m'oblige à me baisser vers sa queue qu'il a déjà sortie de son pantalon. Je le suce, longuement, puis il me met à quatre pattes sur le lit et tente de me sodomiser. Il n'est pas assez dur et me fait mal. Il jouit rapidement et petitement. Il se rhabille et quitte mon appartement. Je suis trempée (...)

Au téléphone avec Hector, je jouis alors qu'il me raconte combien je l'ai excité.